Grand-Veymont – années 1996 et 1997
Le confinement a du bon car il donne du temps. Ma randonnée anniversaire du 17 mars au Grand-Veymont, m’a rappelé quelques ascensions à skis, à crampons et en courant, maintenant on dirait « Trail » sur ce sommet, point culminant du Vercors.
- A skis, hiver 1996 :
- A crampons au printemps 1997, en passant par la face nord du Petit-Veymont, appelé aussi l’Aiguillette :
- En courant en septembre 1996 et 1997 :
Le Grand Veymont – Massif du Vercors – 17 mars 2020
Il s’avère que le 17 mars 2020, journée historique de la mise en confinement de notre beau pays, est le jour de mon 70ème anniversaire qui m’élève au titre d’ancien ! Titre honorifique certes, mais qui donne droit à quelques privilèges comme la priorité aux places assises dans les transports en commun ou aux bras secourables pour franchir les passages piétons !
Vous l’aurez compris, une journée à célébrer absolument par l’ascension, par exemple, du Grand Veymont, point culminant du Vercors (2341m) et avec 2 objectifs : arriver à la voiture avant 12h et ne pas solliciter le secours en montagne…
Pour m’accompagner dans cette improbable aventure j’ai sollicité un jeunot du CAF de la Mure, mon ami Le Yves. Un grand grand merci à lui.
Snowkite dans le Beaumont – 15 mars 2020
Une petite dernière avant le confinement.
- Consignes citoyennes « aller au plus près ». A moins de 2km à vol d’oiseau de la maison les montagnes du Beaumont sont là.
- Alors « hop là» on y retourne !
Au Col de la Lière, dans l’œil de mon objectif, surgit une aile, non, plutôt une voile et puis d’autres. Alors surtout pas de panique, avec mon 20×60, je shoote, je shoote toutes ces arabesques multicolores et les acrobaties des pilotes sur fond de cimes, des Écrins jusqu’au Dévoluy.
Quel spectacle avant le clap de fin, avant le confinement, Coronavirus oblige….
Le Colombier – Beaumont – 14 mars 2020
Une Jolie balade au départ du Col de Parquetout entre brume et soleil, avec comme objectif le sommet du Colombier qui domine Valbonnais et son plan d’eau. Depuis le Clos de l’Alpe, je rejoins Côte Rouge, le Col de la Lière et enfin Côte Belle. Il ne me reste plus qu’à me laisser glisser vers le Colombier. Descente sur le Clos de l’Alpe par de belle pentes et une très bonne neige de printemps.