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Michel Mounier

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Alpinisme

Traversée Râteau-Meije-Pavé-Gaspard -11,12 août 2021

Posted on 20 août 2021 5 Comments
De gauche à droite : Le Pic Gaspard, le Pavé, la Meije et le Râteau. Photo prise à proximité du refuge du Goléon en juin 2018

Mon fils Clément et son ami Mathieu, tous deux guides de haute-montagne au Bureau des Guides des Écrins (dont Mathieu est le président) ont réalisé les 11 et 12 août l’interminable traversée Râteau/Meije/Pavé/Gaspard en une petite journée et demie. En voici le récit par Clément :

« Partis sur la traversée Râteau-Meije-Pavé-Gaspard, nous décidons le matin même d’une option bivouac, toujours agréable pour s’immerger dans une grande envolée alpine.

  • Départ à 15h de la benne des Ruillans, nous rejoignons rapidement le Râteau Ouest. De là nous suivons l’arête jusqu’au  sommet Est, la suite est rapide sur le glacier et finalement la Brèche de la Meije. Nous poursuivons par l’arête Ouest de la Meije avec des passages magnifiques, profitant du soleil jusqu’au bivouac du Glacier Carré. Il est 20h30,  nous avons mis 5h30.
  • Après une nuit bercée par un vent fort, nous nous remettons en route à 6h.
  • 6h45 nous sommes au sommet de la Meije et retrouvons 2 alpinistes qui ont dormi au sommet.
  • 7h15 nous sommes au sommet du Doigt de Dieu, la traversée aura été facilitée par la neige et une bonne trace sécurisante.
  • Il nous faudra 1h30 pour rejoindre la Meije Orientale, le rocher est pourri. Nous terminerons en mixte par le versant Nord.
  • 8h45, nous descendons vers le Pavé, le passage est nettoyé et nous avançons rapidement de nouveau, c’est agréable.
  • Du sommet du Pavé au col de l’Ourson, la traversée est sauvage et l’ambiance superbe avec le Glacier de l’Homme en contrebas. Un ultime rappel de 40m plein gaz versant sud nous amène au col.
  • L’ascension du Pic Gaspard est très sauvage et le terrain délicat. Le dièdre du grand ressaut demande beaucoup de concentration et nous prenons notre temps pour ne pas faire d’erreur.
  • La suite est facile mais le terrain exige encore de la vigilance, il est 13h quand nous sommes au sommet du Pic Gaspard.
  • Heureux de contempler la distance parcourue, nous restons 30 minutes puis descendons les gradins rapidement. Un unique rappel de 25m nous dépose sur le glacier.  Nous entamons une rapide descente en ramasse puis enlevons les crampons. Un dernier rappel de 20m en rive droite nous emmène sur des dalles moutonnées. Vigilance toujours de mise, nous retrouvons enfin un terrain abrupt en herbe. C’est le début des Pichettes. Nous suivons les kairns et un itinéraire improbable pour enfin arriver sur le sentier du Pavé. Nous savons que la course est gagnée !
  • Nous arriverons à 17h à la voiture garée au pied du Col.

Se retrouver avec Mathieu en haute montagne en pleine saison nous fait réaliser la chance de partager la montagne en amateur. Le rythme et notre vitesse d’évolution est grisante. La confiance et notre entente commune, en plus de notre amitié, aura rendu ce voyage incroyable, merci à Mathieu. »

Approche du Râteau Ouest depuis le Glacier de la Girose
Col de la Girose
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Au sommet duRâteau Ouest
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Depuis le sommet du Râteau Est, l'arête et tout au fond à gauche le Dôme de la Lauze
Descente sur la brèche de la Meije
Le glacier de la Meije
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Le Grand Pic de la Meije
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L'arète ouest du Grand Pic
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Coucher de soleil depuis le bivouac
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Au sommet du Grand Pic
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Le Doigt de Dieu semble indiquer la suite de la traversée, Pavé/Gaspard !
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La trace sur le glacier du Tabuchet mène au refuge de l'Aigle
La Meije Orientale et tout au loin le Pic Gaspard
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Au sommet du Pavé
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Le Pic Gaspard
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Au sommet du Pic Gaspard
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Posted in: Alpinisme | Tagged: Traversée Râteau Meije Pavé Gaspard

Traversée des Dents de Coste Counier – Massif des Écrins – 23 juillet 2021

Posted on 25 juillet 2021 3 Comments
Notre cordée à la descente de la 3ème pointe

C’est la 2ème fois que je parcours cette magnifique arête. La première c’était en 1978, je n’en ai gardé qu’un vague souvenir, la longue cheminée d’attaque ! Le temps a passé, mais le refuge lui n’a pas changé, son charme est resté intact. Si je n’ai aucun souvenir des gardiens de l’époque, les nouveaux nous ont réservé un accueil particulièrement chaleureux et leur table fut à la hauteur.

La traversée des Dents de Coste Counier (3025m) a été une course très parcourue à l’époque des pionniers. De nos jours sa fréquentation repart à la hausse. Comme l’a si bien dit le célèbre guide Gaston Rébuffat dans ses 100 plus belles courses et randonnées du Massif des Écrins, « L’arête de Coste Counier est un appel à l’escalade, rocher solide et beaux passages… » Il est vrai que c’est une course particulièrement esthétique, très aérienne et certains passage se font sur le « fil du rasoir ». L’environnement, malgré la relative proximité du refuge, est sauvage, on touche quelques hauts sommets des Écrins comme l’imposante face sud des Bans, mais aussi celles du Pic de Bonvoisin, du Jocelme, des Aupillous, les Pointes de la Pilatte et les Bœufs Rouges. Ce jour-là, nous étions deux cordées : Florent et Rani, Cécile et moi.

Difficulté globale AD, 4c maximum. Horaire de 4 à 6h selon que l’on évite ou pas le fil de l’arête dans certaines sections. Quelques rares pitons sont en place, une rencontre incongrue : deux plaquettes de 12 ! Évidement, on grimpe « en grosses ».

IMPORTANT : le retour au refuge peut être bien paumatoire pour éviter de nombreuses barres rocheuses. Aussi, il faut faire une longue traversée jusqu’à rejoindre la base de l’éperon rocheux caractéristique qui descend des Pointes de la Condamine. Ensuite « d’ré dans l’pentu » droit sur le refuge. J’ai ramené une trace GPS téléchargeable ci-dessous.

© OpenStreetMap contributors
Download file: exp_Dents de Coste Counier - 23 juil. 2021 a_ 13-18-28.gpx
Sur le chemin du refuge des Bans, une petite mare est habitée  par une espèce protégée de grenouilles rousses
Le torrent du Sellar
Et voilà les Dents de Coste Counier
et le poulailler du refuge !
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La marche d'approche au petit jour
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Arrivée en vue de la longue cheminée qui marque le début de l'escalade
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Énorme bloc coincé avec Cécile minuscule, pile en dessous !
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La cordée de Florent et Rani nous précède
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La troisième pointe
Notre cordée photographiée par Florent
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L'arrivée au sommet de la 5ème pointe
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Début de la descente sur la petite vire en écharpe à droite sous le sommet
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Descente de la petite cheminée qui marque la fin des difficultés...
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Nous retrouvons Mylène et Marie-Pierre
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Posted in: Alpinisme | Tagged: Traversée Dents de Coste Counier

Col du Sélé – Massif des Écrins – 10,11 juillet 2021

Posted on 16 juillet 2021 5 Comments

Traditionnellement nous faisons découvrir à nos petits-enfants la haute-montagne en allant au Col du Sélé. Après Élie, Marceau,Emma et Elsa en juillet 2016, c’est au tour de Malo et Joseph. Je leur laisse la parole.

« Nous sommes allés à Ailefroide pour une semaine, Malo (11 ans), Joseph (10 ans) et nos grands-parents Papé et Mamette. Vendredi 10 juillet nous sommes arrivés à Ailefroide et avons installé le camp. A cause de la météo, nous avons du partir dès le lendemain sans pouvoir nous acclimater. Il a fallu louer des chaussures d’alpinisme pour pouvoir mettre des crampons. Nous sommes partis l’après-midi après un bon casse-croute pour prendre des forces. La montée au refuge a été plutôt tranquille, mais un peu longue. Vers la fin de la montée au refuge du Sélé, il y a une barre rocheuse. Nous avons du mettre le casque pour la gravir sans encordement. Vers 17h, nous sommes arrivés à destination. Nous nous sommes installés, avons bu un coup avant le repas de 19h. Nous avons rencontré des gens sympathiques, Geneviève, Patrick et leurs enfants Annabel et Thomas qui ont fait la même course que nous le lendemain. Nous nous sommes couchés tardivement à 20h et nous avons fait la grasse matinée jusqu’à 3h45 Nous avons petit déjeuné à 4h et nous sommes partis à 4h45 de nuit avec nos frontales qui marchaient du tonnerre (bof !). Au début de la course, on marche dans de la caillasse pendant 45 minutes. Ensuite, on arrive sous le glacier au lever du soleil. On s’équipe, on met les crampons, le baudrier et on sort le piolet. Papé nous encorde et on commence la montée. Notre cordée : Papé, Malo au milieu et Jojo derrière. La montée est raide jusqu’à un plateau ultra crevassé que Papé n’a pas vu tout de suite. Quand il l’a vu, il a laissé 30m de corde entre lui et nous. Après encore 45 minutes de marche, nous arrivons au Col du Sélé (3300m) à 8h30 en gravissant la dernière pente rocheuse en mixte, avec nos crampons. Au col c’était beau ! Papé nous a montré la crevasse dans laquelle il était tombé, sous les Bans, en 1975, quand il avait encore des cheveux ! Ensuite nous descendons rapidement jusqu’à la pente raide où Joseph est repassé devant et a glissé ! Papé nous a retenus. A la fin du glacier, nous quittons nos crampons. Nous descendons sous le refuge. Papé doit remonter pour aller chercher la bouffe et payer Raoul (voir photo). Pendant ce temps, Jojo et Malo ont vu une marmotte obèse ! Pour la descente de la barre, nous avons remis nos baudriers pour fixer une longe et passer en sécurité. Malo a eu d’énormes ampoules qui le gênaient énormément. En plus, Mamette nous attendait. Jojo et Papé sont partis devant, tandis que Malo est descendu doucement avec Mamette. Un généreux alpiniste a prêté à Malo des baskets taille 42 qui l’ont sauvé de l’amputation. Papé est monté à leur rencontre à vélo pour aider Malo. Nous sommes arrivés en pleine forme, incapables de marcher plus loin. »

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Posted in: Alpinisme | Tagged: Col du Sélé, Glacier du Sélé

Traversée des Aiguilles de Chamonix – Massif du Mont-Blanc – 26,27 juin 2021

Posted on 29 juin 2021 12 Comments
Vue sur l’Aiguille du Fou à gauche

Les Aiguilles de Chamonix à l’égal du Mont-Blanc surplombent de manière spectaculaire la vallée éponyme et sont des stars mondialement connues comme l’Aiguille Verte et les Grandes Jorasses. Leur traversée est l’une des courses parmi les plus aériennes des Alpes Françaises. C’est un voyage de deux jours à cheval entre le versant Chamonix et le versant Mer de glace. L’alpinisme y est technique et varié. Le vécu et la rapidité priment. De plus le matériel de bivouac impose de grimper avec un sac lourd et encombrant. Le cheminement est complexe, grandiose, avec de nombreux rappels vertigineux comme ceux du Caïman. C’est une course peu parcourue, mais nous étions exceptionnellement deux cordées « franco-suisse » à profiter d’une courte fenêtre météo et ce fut une belle rencontre  (nous n’avons pas eu de tirs au but destructeurs !).

Merci à Dimitri, Amédée et à mon guide de fils Clément pour tous ces bons moments partagés.

  • Samedi départ à 8h30 du téléphérique de l’Aiguille du Midi et arrivée au bivouac du Col du Fou à 18h. Soit un total de 9h30
  • Dimanche reprise de l’escalade à 6h30 pour une arrivée au téléphérique du Plan de l’Aiguille à 14h. Soit un total de 7h30
  • Après quelques libations bien méritées dans la vallée avec nos nouveaux amis, retour pour ma part à la maison de retraite de Valbonnais à 20h !

A noter que l’ascension de l’Aiguille du Fou est la plus difficile de la traversée et les chaussons d’escalade sont vivement conseillés. Seul Clément a privilégié le confort et la chaleur de ses grosses chaussures.

  • A part les rappels, si on les trouve, peu ou pas de pitons sont en place, essentiellement à l’Aiguille du Fou. On se protège avec des friends et des sangles.
  • Une fois engagé dans la traversée, la retraite est problématique.
  • Cotations : TD- 6a obligatoire A1+ IV P3
  • Compter 20 à 24h au total

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Pas facile la vie de montagnards à Chamouni !
La benne de l'Aiguille du Midi
De gauche à droite : le Mont-Blanc, le Dôme et l'Aiguille du Goûter
Depuis la gare terminale du téléphérique de l'Aiguille du Midi, l'arête neigeuse de la traversée Midi-Plan
Descente de l'Aiguille du Midi. Les Aiguilles sont sous la lame de mon piolet : c'est tout droit !
Mon fils Clément, mon guide
L'Aiguille du Midi vue depuis le Rognon du PLan
L'Aiguille du Plan
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Clément face à l'Aiguille Verte
Versant Mer de Glace
Versant Chamonix
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A gauche les Grandes Jorasses et la Dent du Géant à droite
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La pause casse-croute
Versant Chamonix
On aperçoit Chamonix 2500m plus bas, en haut à droite
Au centre, le glacier suspendu du Plan
Je débouche à une petite selle neigeuse
La Dent du Crocodile
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Tout en bas, le glacier de Blaitière et Chamonix
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Tout en bas le glacier de Leschaux
L'Aiguille du Fou au centre avec sur sa droite la Pointe Lépiney
Descente de la Dent du Caïman
L'Aiguille du Fou au centre avec sur sa droite la Pointe Lépiney
L'Aiguille du Fou et la Pointe Lépiney
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Descente de la Pointe Lépiney en fil d'araignée
Au centre la Pointe Lépiney  parait adossée contre la Dent du Caïman
Nos nouveaux amis, Dimitri et Amédée
Il fait aussi la cuisine, cet enfant a été bien éduqué !
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Cordée père/fils
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Aurais-je du m'encorder ?
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.Un Chocard intéressé par notre petit-déjeuner !
Escalade matinale et bien frisquette  à l'Aiguille du Fou
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La dream team Suisse !
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Notre cordée croquée par Amédée
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Au sommet de l'Aiguille du Fou
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Descente des Ciseaux
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Descente en rive gauche du couloir Spencer
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Sur le glacier des Nantillons
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Les Aiguilles depuis le sentier du Plan de l'Aiguille
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Il était temps pour moi que notre balade se termine ! Chouette, je serai dispensé de vaisselle !!!
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Posted in: Alpinisme | Tagged: Traversée des Aiguilles de Chamonix

Traversée des Aiguilles du Diable – Massif du Mont-Blanc – 14 juillet 2020

Posted on 20 juillet 2020 15 Comments

Cette longue traversée d’arête au dessus de 4000m se déroule dans le cadre exceptionnel de la Combe Maudite, face au versant Italien du Mont-Blanc et domine la Mer de Glace. L’escalade de ces 5 aiguilles déchiquetées est de toute beauté et se termine au sommet du Mont-Blanc du Tacul (4228m).

Depuis le refuge Torino on traverse nuitamment le glacier du Géant pour rejoindre la combe Maudite. Presque au fond du cirque, par un raide couloir on accède au Col du Diable (3961m). Nous voici à pied d’œuvre.

L’escalade consiste à gravir et à descendre la Corne du Diable (4064m), la Pointe Chaubert (4074m), la Pointe Médiane (4097), la Pointe Carmen (4108m) et enfin l’Isolée (4114m). On termine l’escalade par une dernière arête en rochers brisés et par une traversée, on atteint sur la gauche le sommet du Mont-Blanc du Tacul (4248m).

Avec mon fils Clément guide de haute-montagne, nous avons quitté le refuge Torino à 2h30, pour arriver au col du Diable à 5h et au sommet du Mont-Blanc du Tacul à 10h45. Puis par une longue boucle avec un glacier très crevassé sous la combe Maudite, nous avons retrouvé le refuge Torino à 14h15.

Nous avons fait pas mal de rencontres et en particulier, Alex et Charlotte, aspirant-guides, avec qui nous avons partagés quelques pointes ! Je tiens aussi à souligner l’excellent accueil des gardiens du refuge Torino.

Au final une chouette journée d’alpinisme sublimée par une inespérée mer de nuage.

Informations pratiques :

  • Difficulté de la course : D+ – 5c max – Engagement IV
  • Quelques chiffres données par ma montre altimètre/GPS/Cardio dont je ne communiquerai ni la marque ni le modèle (PAS DE PUB sur ce blog !) : dénivelé positif 1660m, distance parcourue 12,18km, nombre de pas 42834

Décidément les sorties familiales sont éreintantes !

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Départ du refuge à 2h30
Arrivée au col du Diable à 5h
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Montée à la Pointe Chaubert
Au centre la Corne du Diable
Arrivé au sommet de la Pointe Chaubert avec les premiers rayons du soleil
Derrière Clément, le Mont-Maudit et le Mont-Blanc
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Au premier plan l'arête Kufner du Mont-Maudit avec derrière l'imposante arête de Peuterey qui mène au Mont-Blanc
L'ombre des Aiguilles du Diable se dessine  sur la face est du Mont-Maudit
Descente de la Pointe Chaubert
Montée à la Pointe Médiane
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Le dièdre de 40m de la Pointe Médiane
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La Pointe Chaubert
Escalade de la Pointe Médiane
Il fait vraiment froid et l'on grimpe tant que c'est possible avec les gants. Au fond les Grandes Jorasses
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Les Grandes Jorasses et tout en bas à gauche, minuscules, les Périades
Escalade de la Pointe Carmen
La Pointe Carmen et derrière sur sa gauche l'Isolée
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A gauche la Pointe Médiane et sa boite aux lettres
En montant à la Pointe Carmen
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Descente de la Pointe Carmen
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En bas, au centre de la photo, les pointes du sommet du Trident du Tacul
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Les Périades
Descente de la Pointe Carmen
Auto-portrait !
L'escalade de l'Isolée
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Le Mont-Maudit et ses pentes de neige souvent plaquées...
Les pointes Médiane et Carmen avec au fond à gauche les Grandes J(V)orasses !
Mon guide de fils au sommet terriblement étroit de l'Isolée. Avec un drone on aurait pu faire une photo fantastique !!!
Sur l'arête qui mène au Mont-Blanc du Tacul
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L'itinéraire de sortie passe sur la gauche dans les blocs brisés...
Tout en bas, la Combe Maudite
La Dent du Géant se confond avec la masse imposante des Grandes Jorasses
L'ultime traversée rocheuse avant l'arête neigeuse sommitale
Sortie familiale
Le sommet !
A gauche l'Aiguille du Midi et à droite les Aiguilles de Chamonix
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Descente de la voie normale du Mont-Blanc du Tacul
Ensemble Pyramide du Tacul, Aiguilles du Diable, Grand Capucin
Les Aiguilles du Diable
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Le passage très crevassé sous la Combe Maudite, dominé par le Grand Capucin au centre
Et enfin le refuge Torino !
Photo des Aiguilles du Diable prise en 1998 depuis l'arête Kufner du Mont Mauditl.
Photo des Aiguilles du Diable prise en 1998 depuis l'arête Kufner du Mont Mauditl.
Et en 1999 en descendant du Maudit après avoir fait la Kufner du Mont Maudit
Et en 1999 en descendant du Maudit après avoir fait la Kufner du Mont Maudit
Posted in: Alpinisme | Tagged: Aiguilles du Diable, Mont-Blanc du Tacul, Traversée Aiguilles du Diable
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